Sur une piste de danse en carton improvisée,
Pantins en bois articulés,
Sur les scratchs de la DJ perchée,
Le défi est lancé : conjuguer Breakdance et théâtre d’objet !
La compagnie raconte que ce projet est né en 2024 à Paris, alors que pour la première fois de l’histoire des Jeux Olympiques, le breaking fait partie des disciplines représentées. C’est ainsi que vinyles sous le bras et casquette vissée sur la tête, Scopitone s’empare de cette discipline issue des arts de la rue pour contribuer à l’événement.
Derrière un castelet en forme d’un Ghetto Blaster (magnétophone à K7 pour ceux qui comme nous ont besoin de sous-titres), la DJ apparaît aux platines, gants blancs, baskets, survêtement et bijoux clinquants. La piste est de carton pour mieux «breaker», comme dans la rue. Pendant ce temps-là, un «bad cop*» guette, en quête d’infraction. Tout est réuni pour célébrer la Street Dance et entamer un jeu du chat et de la souris à la Tom et Jerry jusqu’à la battle finale. Avis aux amateurs ?
* mauvais policier
Mise en scène : Cédric Hingouët | Assistant mise en scène et interprète : Juan Pino | Danseuse et interprète : Laura Maillard | DJ : Émilie Respriget en alternance avec Emilie Rougier | Chorégraphes : Bruce Chiefare (Cie Flowcus) et Virginie Savary | Décors et lumières : Alexandre Musset | Visuels : Grégory Bouchet | Chargée de diffusion : Pauline Veniel / Bureau Hectores | Administratrice de production : Catherine Vadureau / Les Gesticulteurs