Le Palais Hanté d’Edgar Allan Poe

Tantôt cabaret à l’humour très noir qui aurait pu être fréquenté par Mackie-le-surineur, tantôt fusion punk entre le burlesque des années 30 et le music-hall anglais le style des Tiger Lillies est inclassable. Chaînon manquant entre Tom Waits et les Monty Python peut-être ?
Dans ce spectacle aux allures de cabaret d’outre-tombe, Martyn Jacques, Adrian Stout et Jonas Golland nous convient dans le monde du poète et nouvelliste Edgar Allan Poe, dont l’existence tragique, minée par la misère, la mort des femmes aimées et l’alcool s’est mystérieusement achevée un soir, dans un ruisseau de Baltimore.
Bienvenue de ce Palais Hanté, boîte magique ou cabinet misérable, suivez les corridors, entrez dans les chambres et découvrez un poète, le Corbeau, une encre magique, une promesse de gloire, une tête laissée en gage, un accordéon, une scie musicale et des percussions, tout un univers hallucinant et drolatique qui chemine entre Soho et le Maryland.

« Fun, scintillating, impudent, achingly beautiful.»
Maddy Costa, The Guardian

Projet partagé avec l’Opéra de Dijon

Distribution

Musique, Voix, accordéon, piano : Martyn Jacques | Contrebasse, scie musicale, theremin, chœur : Adrian Stout | Batterie, percussions, chœur : Jonas Golland
Mise en scène : Paul Golub | Conception musicale : Martyn Jacques | Conception visuelle : Mark Holthusen | Texte : Peder Bjurman | Distribution : Peter Caulfield et Lucy Kilpatrick | Costumes : Sylvie Martin-Hyszka, assistée par Magali Perrin-Toinin | Maquillage : Jérôme Ventura | Directeur technique : Xavier Fananas | Conception lumière et technicien vidéo : David Bernard | Ingénieur son : Johnny Nolan